Les gynécologues méritent l’équipement le plus innovant et professionnel. MediLaser offre diverses solutions pour les urologues. En plus de l’équipement laser, la gamme de Medilaser pour le gynécologue se compose également de colpoloscopes.
La colposcopie est un examen courant dans la pratique gynécologique. Il est donc très important que le gynécologue puisse effectuer cet examen dans une position confortable. Les colpolscopes optiques de Seiler Medical ont été spécialement conçus en veillant à offrir un confort au gynécologue et lui permettre d’effectuer la colposcopie dans une position confortable et droite, tout en maintenant constamment un contact visuel avec le patient.
Une colposcopie est un examen gynécologique dans lequel la vulve (fente pubienne), le vagin et le col de l’utérus peuvent être examinés avec précision au moyen d’un colposcope. Le gynécologue introduit un spéculum dans le vagin (comme lors d’un frottis cervical) et place le colposcope devant afin d’examiner avec précision le tissu utérin à la recherche d'anomalies.
Les colposcopes optiques Seiler Medical sont disponibles avec un grossissement de 3 ou 5 minutes, ce qui augmente la qualité du travail effectué par le gynécologue. En outre, les colposcopes Seiler Medical, avec leur source de lumière LED de 100.000 lux, fournissent sans doute l’éclairage le plus puissant et lumineux actuellement disponible sur le marché, cela tout en assurant une durée de vie de 50.000 heures de fonctionnement de la lampe LED.
De plus, Seiler Medical offre un large éventail de possibilités pour enregistrer et stocker des images et des vidéos de recherche en Full HD ou 4K. Cela permet aux gynécologues d’expliquer à leurs patients pourquoi ils proposent une intervention particulière, ce qui les aide à établir une meilleure relation de confiance avec la patiente. Enfin, tous les colposcopes optiques Seiler Medical disposent d’un connecteur de 12 volts intégré dans l’alimentation secteur de leur source lumineuse, permettant aux cliniciens de continuer à travailler sans avoir à recharger leur caméra.
C’est dans les années 1920 que la colposcopie est pour la première fois considérée comme une science. Hans Hinselmann, un médecin allemand, a été l’un des premiers médecins à être impliqué dans la colposcopie. Le mot grec « kolpos » (qui signifie vagin) et le mot « scolpia » (qui signifie regarder) ensemble font le mot colposcopie.
Lorsqu’on envisage un colposcope, il faut tenir compte d’un certain nombre d’aspects : l’agrandissement, l’éclairage et l’ergonomie. En fait, les différences finiront par devenir visibles dans la qualité optique. Bien qu’un modèle d’entrée de gamme suffit parfois, une bonne qualité optique peut faire une nette différence. Cela peut rendre visibles des anomalies vasculaires ou des détails sur la portion vaginale du cervix (col de l’utérus) qui autrement n’auraient pas été observés.
Parfois, un filtre vert est ajouté au colposcope. Ce filtre rend les modèles vasculaires, qui autrement ne se distinguent pas, plus visibles. En ajoutant de l’acide acétique (3%) ou de l’iode au tissu de la muqueuse cervicale, le mucus est réduit et les contours deviennent plus visibles. La recherche se concentre ensuite sur l’évaluation des zones de transformation et d’une anomalie, par exemple, dans le relief et la couleur.
Traditionnellement, un colposcope est disponible en deux variantes. La première est un colposcope que le praticien peut rouler entre ses jambes et ainsi positionner directement devant le vagin. Ce type de colposcope n’a pas de bras pivotant et, ergonomiquement, n’est pas facile à positionner.
L’autre variante est équipée d’un bras pivotant et est placée dans la bonne position sur le côté. Il peut être monté sur la table d’examen ou placé sur un trépied à roulettes à côté du patient. Le mouvement de traction sur le côté n'est pas la solution la plus ergonomique et fait que le bras pivotant peut se mettre en travers du chemin de manière incommodante.
C’est pourquoi il existe depuis peu une nouvelle façon de procéder, à savoir la technologie “par-dessus l’épaule”. Le colposcope est placé derrière le thérapeute et peut être tiré par-dessus l’épaule vers le bas pour positionner le colposcope . C’est un mouvement beaucoup plus naturel qui demande moins de puissance et d’effort. De plus il n’y a aucune partie du microscope, sauf l’oculaire, entre le médecin et la zone à examiner.